On peut alors conclure que si les produits biologiques et alicaments restent consommés majoritairement par une certaine catégorie sociale plus élevée que les autres. En France, à l'heure de la crise économique, les habitudes changent, les français cherchent à consommer différemment : "Adopter une consommation plus durable". Les français ont des attentes de plus en plus fortes : ils recherchent de la part des différents acteurs (sociétés, politiques, entreprises) un accompagnement et des incitations à agir. Le consommateur a besoin d'être rassuré, il a besoin qu'on lui apprenne à consommer moins mais juste. Avec la crise, on note l'émergence de nouvelles opportunités et de nouveaux marchés (industries cosmétiques).
De nouveaux consommateurs apparaissent :
- Les engagés : Pour eux, consommer responsable est un véritable choix de consommation. Ils veulent consommer des produits dont ils connaissent la provenance et les conditions de fabrication. Ce sont les plus souvent des produits locaux, bons pour leur santé.
- Les progressifs : Bien qu'informés et sensibles, ils demeurent méfiant et désirent être accompagnés dans leur compréhension de l'offre. Leur principale motivation est la santé. Ils sont prêts à payer plus.
- Les sceptiques : Ils représentent une incompréhension sur ce que représentent les différents labels par exemple. Ils n'ont pas encore le réflexe de consommation. Ils sont toujours dans un système de consommation classique.
Ce dernier type de consommateur devient rare en France.
Le sujet est d'actualité : une alimentation saine pour un corps sain. C'est devenu un véritable phénomène de mode. Mais y-a-il réellement des tests prouvant que ces produits sont bénéfiques pour la santé? Le bio et les alicaments sont-ils plus sains que les autres produits?
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